Notre projet :

Bravo à tous les donateurs qui ont permis le parrainage du Banc et de l'Arbre du Pèlerin.

En lien avec Universcience, nous avons recueilli les fonds nécessaires au parrainage d'un banc, puis d'un arbre, un tilleul de ce nouveau jardin mis en place devant la Cité des sciences et de l’industrie à Paris.

Objectif réalisé : par une plaque portant la mention "Le banc du Pèlerin", "L'arbre du Pèlerin", sensibiliser les passants, les usagers et le public en général au bonheur du chemin et à sa simplicité. La vie est un long chemin où nous sommes, tous, des pèlerins.

Le pèlerin est celui qui fait un pèlerinage, et le pèlerinage est avant tout un cheminement. Ce banc et cet arbre sont une intention au Chemin. Chemins balisés, chemin intérieur, chemin de vie…

Notre réalisation s'affilie à tous les pèlerinages et à aucun en particulier. Pour que chacun puisse suivre son chemin, elle est ouverte à tous. L'inauguration et le dévoilement des plaques se sont déroulés le dimanche 18 mai 2014.

samedi 15 décembre 2012

Le soutien d'Alexandre Poussin


"Le banc permet de se détacher du sol."




"Que serait le chemin sans la halte, le repos, le répit ? S’il est inspiration, le banc est expiration. Si le chemin est souffle, le banc est soupape. Si le chemin est libération d’une tension, le banc est méditation. Au Soudan, la belle tradition du “sébil” offre un banc ombragé au voyageur inconnu, un panier de dattes fraiches et de l’eau glaciale tirée d’une jarre poreuse qui refroidit son contenu par évaporation à la surface du contenant. C’est le banc le plus civilisé sur lequel je me sois jamais reposé. J’ai souvent été sauvé par des bancs. En Chine où ils sont rares, pour ne pas périr sur un sol gelé, au Kenya où ils servent de vaisselier pour ne pas cuire sur un sol de fournaise. 

Le banc permet de se détacher du sol. Sur un banc, la vie est un peu en suspens. "



Un grand merci à Alexandre Poussin pour ses mots qui viennent soutenir Le Banc du Pèlerin. Auteur-réalisateur amoureux des grands espaces, de la diversité naturelle du monde et de son humanité, il aime à se laisser porter par ses pieds pour fouler les sentiers de notre planète Terre. Ses premières aventures furent en compagnie de son ami Sylvain Tesson : rencontre de 35 pays à bicyclette en un an et traversée de l’Himalaya en 5 000 kilomètres à pied. Ces deux expériences sont contés dans : « On a roulé sur la Terre » et « La marche dans le ciel », aux éditions Laffont. Marié, c’est aux côtés de sa femme Sonia qu’Alexandre a remonté l’Afrique à pied, en trois ans, pour refaire symboliquement le premier voyage des premiers hommes. Ils racontent cette grande marche en couple dans « Afrika Trek (I et II) », chez Laffont.

Alexandre Poussin nous explique les pouvoirs insoupçonnés de la marche dans son dernier livre « Marche Avant », Laffont.

Pour suivre son actualité rendez-vous sur www.afrikatrek.com


2 commentaires:

  1. Il est fou de faire le poirier à cette hauteur et au bord d'un précipice ! C'est plus qu'insolite. Déjà, un poirier, en plein désert...

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  2. C'est pourquoi il faut toujours planter des graines, même dans les déserts.... car on ne sait jamais les fruits que cela offrira.

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